mercredi 21 novembre 2018

8. Les petits métiers d'hier aujourd'hui disparus... : Autres petits métiers et moyens de transports à redécouvrir !

 
 
 
Je ne résiste pas au plaisir de vous faire découvrir des petits métiers qui pour la plupart sont perdus aujourd’hui. Je vous parle d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaitre… À cette époque, il n’y avait même pas besoin de traverser la rue pour trouver un emploi ! Je ferai également des propositions pour retenir les moyens de transports de jadis pour nos gouvernants afin de les rendre exemplaires.
 
Le premier que je voudrais célébrer n’avait pas une activité réduite aux fêtes de Noël mais druides obligent l’activité du marchand de gui était associée aux céremonies druidiques organisées selon le  calendrier païen, basé sur les rythmes de Belenos (solaires) et Belisama (lunaires).
 
 
 
 Il est jalonné par quatre fêtes lunaires régulièrement réparties : Omnia (qui marque la fin de la Roue précédente et le début de la Roue qui s’ouvre, autour du « Temps hors du Temps » entre les Roues successives), Brigia, Dagdia et Lughia.
 
 
 
 
Le marchand de porcelets officiait sur les foires… Le cochon était comme partout un élément important pour les familles de l’époque qui constituait la base de l’alimentation….
 
 
 
 
 
 
 
La chanteuse de complaintes bretonnes avait fière allure avec son attelage à deux chiens. Vous noterez au passage la voiture à trois roues dirigée d’une main et de l’autre actionnant le frein pour contrôler la vitesse quand la voix ne suffisait pas... « C’est une vendeuse de ces chansons populaires sur feuilles volantes qui racontent, en multiples couplets, les infanticides, les naufrages, les retours de guerre, les malheurs des ivrognes, les amours contrariées. Je ne l’ai pas vue en action, mais j’entends dire qu’elle a fait de bonnes affaires. Et pourtant, on ne la reverra plus qu’une fois ou deux. La jeunesse préfère déjà les chansons en français. Celles de Botrel et de Paris. » Pierre-Jakez Hélias
 
 
 
La production en série de ces voitures permettait de baisser les coûts. De plus, la traction d’un tel véhicule était insensible au prix des carburants et des taxes associées, ce qui serait d’un intérêt certain de nos jours. Quant à l’impact sur l’environnement, il était quasi nul puisque le véhicule pouvait soit être recyclé (!) ou brûlé. Quant aux chiens, ils existaient par ailleurs et leur utilisation était donc neutre. Par ailleurs ils constituent un système anti-vol embarqué très efficace. Ce véhicule serait classé aujourd’hui parmi les pick-ups, transportant dans sa partie arrière tous les objets nécessaires !
 
 
 
Les façons de se déplacer étaient bien plus variées qu’aujourd’hui et ne causant aucun soucis écologique. Je verrai bien notre noble ministre de la transition écologique (de Rugy) se déplacer à cochon. Quelle fière allure il aurait, faisant coincider l’action à la parole. Il pourrait convaincre ses pairs de faire de même pour baisser drastiquement leur empreinte carbone. Imaginez l’arrivée à l’Élysée le mercredi matin pour le Conseil des Ministres ! 
NB : sans utiliser de cochons, les ministres pourraient pour le moins se déplacer dans Paris en bicyclette même électrique pour démontrer qu’ils mettent en adéquation leurs actes avec l’urgence climatique et utiliser les transports en commun pour les déplacements hors Paris. Ils seraient ainsi confrontés à la réalité de millions de Français qui ne sont pas des bobos des villes et qui ont un besoin viscéral d’un véhicule automobile.
 
  
 
Par contre pour le Président et le Premier Ministre qui méritent des égards particuliers,  un moyen de transport différent qui sied à leur grandeur serait retenu… Là encore, leur exemplarité leur permettrait de rester à haut niveau dans les sondages démontrant qu’il ne dépensent aucun euro de façon inutile, ne tirant aucun profit de leur statut.  
 
Pour le Premier Ministre, qui traite de nombreux dossiers, il lui faudrait une carriole comme celle ci-après. D’ailleurs, l’homme avec sa barbe ne ressemble-t-il pas à  Doudou ? Deuxième preuve d’exemplarité que le premier ministre satisfairait : ne jamais dépasser 80 kilomètres par heure ! Ce serait un Premier Ministre que jamais AutoHebdo ne pourrait épingler pour non respect du code de la route et surtout des limitations de vitesse.
 
 
 
Le président de la république nécessite une situation plus en élevée, corespondant mieux à celui de Jupiter tombé de l’Olympe. Ainsi, le bas peuple voyant un tel équipage pourrait s’interroger pour savoir qui est l’âne et qui est la mule. Cet équipage pourrait aussi étre utilisé pendant les vacances présidentielles. Vous remarquerez les deux coffres latéraux qui permettrait de transporter de l’eau pour piscine ou bien des piles d’assiettes de Sèvre. Comme pour le Premier Ministre, ce moyen de transport lui permettrait de démontrer son exemplarité et surtout son humilité qui lui fait tant défaut.
 
Voilà comment la démonstration de nos dirigeants pourrait calmer la grogne sociale tout en réduisant très significativement les dépenses du pouvoir exécutif.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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